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ÇA A TOUJOURS ÉTÉ COMME ÇA DE TOUTE FAÇON - BENJAMIN PRUVOST Qu'est ce qui a toujours été comme ça ? Sans doutes la violence, l'insidieuse comme l’ostentatoire, la violence intime comme la communautaire, celle qui vient en composante nécessaire et indésirable, semble nous dire Benjamin Pruvost, de la masculinité. Il nous parle, dans une langue à vif et brute de ce qui est reproduit dans les bars, les canapés et les vestiaires. mais aussi de ce qui est découvert, et de ce qui reste à découvrir, dans les coulisses de cette masculinité. | ||||
THE WAVES (COLORS) - MAXIME FAUCONNIER Dans cette première édition Décade en anglais, Maxime Fauconnier a imaginé une manière alternative d'expérimenter le roman de Virginia Woolf, « Les vagues », en utilisant toutes les couleurs mentionnées dans ses pages. | ||||
JE PRÉFÈRE MA PEINE - PATRICK CARPENTIER & ANN GILSON Entre octobre 2005 et mai 2009, Patrick Carpentier et Ann Gilson se sont retrouvés régulièrement au Café Central situé rue Borgval à Bruxelles pour y composer des cadavres exquis. En voici 11. | ||||
Des pierres est un texte majestueux, comme un arbre centenaire au milieu d’une prairie. C’est un matin noble et minutieux. Un ciel chargé qui se retient. Un espoir qui se rend. C’est un conte dramatique fervent. Boris Bombek nous tend ici la chronique grise et sobre d’un passage. C’est une rare mise à nu d’un moment de vie, écarté. Abruptement. Ce recueil pudique incarne des sentiments simples que nous reconnaissons. Alors, inopinément nous nous ajustons. Nous attendons l’éclaircie. La voilà.. | ||||
LES DOIGTS PÂLES - MATTHIEU MARCHAL Avec ce texte trempé, Matthieu Marchal nous cale dans un sombre, acharné. Dans une absence de couleur. Un camaïeu de gris. C’est une écriture brute, simple, sans recul, emmenée par un rythme asphyxié. Ici l’expression « dos au mur » prend tout son sens. Immédiat et instinctif ce premier recueil est beau comme la peau. | ||||
O. - JULIEN LADEGAILLERIE Ce texte de Julien Ladegaillerie nous broie les os. On en sort courbaturé, la nuque tendue par un effort que nous essayons vainement de maîtriser. Figuratives et abstraites à la fois, ces douze pages nous maltraitent. Une peine ancienne resurgit. Religieuse. o. est un écho lent qui résonne et disparait. Nous en avions perdu la trace, nous la perdons à nouveau. Nous étions au bord de la noyade, nous voici baptisés. | ||||
L’IMMOBILE - SIMON JOHANNIN (ÉPUISÉ) Il y a dans ce premier recueil de Simon Johannin un flottement d’une gravité inattendue. Rien n’y est amarré. Les mots fonctionnent ici comme des clés, ils contiennent l'essentiel de l'idée, ils sont la base de la structure et la trame générale du texte. C’est sans doute ce qui donne à voir une autre réalité, un entre-monde dont l’auteur fait partie. Il nous plonge dans un état traversé, médicalisé et listé. L’immobile, est écrit comme une poignée de gravier que l’on jette. | ||||
LA DÉROBÉE - ANN GILSON Ann Gilson nous entraîne dans un lieu suspendu où toute approche n’est que retenue. Infiniment élégant, ce premier recueil nous raconte avec brio la cristallisation de l’entre-temps et de l’immobilité. Douze textes courts, intenses, drôles et beaux. A lire de grand matin, quand les rues sont encore vides, que le soleil point et que tout est encore possible. | ||||
LE GARÇON SOIGNÉ - PATRICK CARPENTIER Patrick Carpentier nous livre ici un recueil de textes d’un lyrisme singulier. Sensible et pudique, passionné parfois. Des récits brefs où l’insignifant est mémoire. Une retenue absolue du moment, liste de circonstance, intimité d’une pensée troublée par son environnement. Chacun de ces douze textes courts nous décrit un moment retenu, fragment d’un passé serein. Vague souvenir du détail. Collection d’intervalles. | ||||